L'honneur d'un Padawan [pv CieranShepard]

Comme on pouvait s’y attendre, ce spectacle lamentable attira l’attention du soldat qui vint à la rescousse du suédois. Le jeune homme se débattait avec les sacs pour réussir à s’en extirper, mais la tâche fut ardue. On aurait dit un asticot qui cherchait à fuir. Quand le géant proposa son aide dans ce cas pour aider le pauvre malheureux à sortir, Jonas répondit vivement :

"Non ! Merci, je vais y arriver..."

Lundh était parfaitement conscient du ridicule de la situation. Sur le coup, il chercha à sauver un minimum d’honneur, en arrivant à se débrouiller. Il ne voulait pas paraitre complétement nul autant devant le gaillard que pour lui. Hélas, on ne décidait pas de comment on devait être, et ayant donc du mal à faire une sortie « badass » comme le dise les jeunes, le pauvre suédois avait du mal à se défaire des sacs.

"Quoi que volontiers…" Fini donc pas accepter, rendant les armes devant les caprices du destin.

Attrapant la main puissante et viril, Jonas se retrouva rapidement sur ses pieds et fut impressionner par la taille de cet homme. Il devait faire dans les deux mètres ou presque. Larges épaules, on devinait sa masse impressionnante, sans doute une véritable montagne de muscle, capable de broyer Jonas avec une seule main. Alors que ce dernier, était svelte oui, mais devait paraitre bien maigrichon à côté de lui, ne faisant qu’un mètre soixante-dix.
Jonas sortie de sa contemplation envieuse par ce géant qui le questionna sur les raisons l’ayant poussé à jouer sur les toits. Sa voix était à l’image de son corps, forte et puissante. Lundh eut un sursaut en l’entendant à nouveau parler.

"Ah euh… Je suis livreur ! J’ai voulu passer par les toits pour aller plus vite et gagner du temps." Et surtout se la péter. [color=#FF9933Je vous ai vue en-bas et j’étais impressionner par vos prouesses et m’étant trop pencher… Ben voilà."[/color] Pour appuyer ses dires, il retourna son sac où se trouvait sa marchandise.

Jonas était quand même quelqu’un de plutôt agile et rapide. Mais il manquait cruellement de maîtrise, ne sachant trop comment se servir de ses aptitudes cachées. Avec un peu plus d’entrainement surement, le suédois arriverait sans doute à devenir un vrai maître du parcours. Une légende ! Ce qu’il se disait pour ne pas totalement se démotiver.
Se grattant la tête, et se sentant surtout gêner de rencontrer cet homme de cette manière, Jonas tenta de rebondir, verbalement cette fois-ci.

"Désolé de vous avoir déconcentrer. C’était cool ce que vous faisiez. Vous êtes soldat ou un flic d’Esperanza. Ha au fait ! Je m’appelle Jonas, enchanté." Se présenta donc le jeune homme en tendant la main tout sourire.

Le géant était impressionnant certes, mais il avait un regard qui inspirait la confiance. Lundh se disait en son fort intérieur, qu’il n’avait trop de raison de s’inquiéter de lui. Au pire, il recevrait une rouste des plus sévères. Quoi que… Jonas avait un peu peur qu’une seule des claques de ce colosse, suffise à le tuer sur le coup. Il était clair que ce gars, était capable de trucider une légion de zombi à lui tout seul.

Avec la remarque de favoriser le sol, Jonas jeta un rapide coup d’œil de là où il était tombé avant de revenir vers le colosse.

"Vous avez sans doute raison. Mais au moins sur les toits, on ne croise pas grand monde qui risque de faire bouchon ou vous déranger."

C’était un peu le plan de départ. Utiliser la voie des airs pour gagner du temps. Et puis, Jonas avait accepté tellement de courses qu’il s’était retrouver presque dépasser. Il était à bout de souffle, mais cette chute et le reste, semblait l’avoir mystérieusement requinqué. Au pire, sur les dernières il touchera moins, mais il préférait cela au final, plutôt que de se casser pour de bon quelque chose.

Le gaillard se présenta donc sous le nom de Cieran. Irlandais ? Le suédois lui sera donc la main tout sourire, mais grimaça sous la poigne puissante du géant. Il sentait toute cette force que le jeune homme enviait. Un soldat, comme il l’avait imaginé. Ce gars devait être une véritable machine à tuer, pour survivre, il dut cent mieux se débrouiller que le maigrichon devant lui. Jonas se sentit un peu complexer. Cieran lui fit remarquer qu’il existait des vélos. Ce que Lundh était au courant, et ne tarda pas à apporter ses explications.

"Je suis au courant oui, Mais on vient tout juste d'arriver et se payer un vélo n'est pas évident, ça ne sera pas pour tout de suite."

Quand Daniel et Jonas furent arrivés, ils n’avaient pas un sou en poche. Le monde s’étant effondrer, l’argent n’avait plus la moindre utilité. Il fallait se servir quand on trouvait et faire de ses propres mains, ce qu’une entreprise ne pouvait plus produire. Arriver à Esperanza, on eut la bonté de les loger quelque part. Mais très vite, on leur fit comprendre qu’il était important d’avoir un minimum de revenu pour vivre. On essayait de rebâtir l’ancien monde, ce qui pouvait être bien, mais avec aussi ses anciens travers sans doute.
En tout cas, avoir un véhicule pour se déplacer serait bien pratique, surtout dans une ville aussi grande que celle-ci. Mais pour en avoir un, il fallait avoir l’argent et déjà, le jeune duo arrivait tout juste à gagner de quoi vivre. On avait déjà proposé des vélos avant, mais souvent contre des contreparties assez lourdes dont on ne pouvait pas dire oui de suite.

"C’est génial de croiser un des hommes qui nous protège. Grâce à vous qu’on soit toujours en vie ici. Vous vous entrainez souvent j’imagine. Et sans doute, pas mal combattue pour en arriver-là."

Lundh espérait que Cieran narre un ou deux faits où il aurait massacré à lui seul une horde de zombi. Il le connaissait à peine, mais déjà le suédois éprouvait une forme d’admiration devant cet homme, le voyant déjà comme une sorte de héros, quelqu’un qu’il ne serait jamais. Daniel l’avait déjà réconforté en disait que même s’il n’était pas aussi imposant que Thor ou Captain America, il avait réussi à prendre soin de lui et à les protégers. Des paroles touchantes, mais Jonas était convaincu que s’il fut juste la moitié de Cieran, les choses auraient étés plus facile et se serait mieux terminés…

"Ouais mais c’est gonflant de devoir le crier à chaque fois. Et puis, ils ne sont pas tout civilisé. Enfin… C’est quoi déjà le mot quand on dit qu’on manque de manière ? Enfin bref, y’en a qui ne le font pas. A croire qu’ils trouvent plus intéressant de vous gêner et provoquer un problème."

Ce genre de cas était plutôt rare, Jonas l’avait rencontré qu’une fois ou deux. Mais c’était énervant quand on refusait de se pousser. Alors on forçait le passage et c’était l’autre qui s’énervait contre vous. En même temps, si Jonas n’en faisait pas trop, il serait sans doute moins pressé. Ce n’était pas comme dans un MMORPG, où on pouvait accepter toutes les quêtes et les remplir quand bon nous semblait, on avait un limit time à respecter.
Pour le second point, le livreur ignorait si le géant se moquait de lui ou non.

"Une trottinette vous êtes sérieux ? Et essayer un vieux vélo rouillé… Pas envie de risqué de tétanos après avoir échappé aux zombis et fous cannibales."

S’il devait y avoir un vélo dedans, il serait sans doute dans un piteux état. Et Jonas n’avait ni le temps ni les moyens d’en retaper un. Car trouver le matériel adéquat ne devait être simple. Mais il fallait le comprendre, nouvel arrivant, il ne savait pas trop encore comment la vie ici fonctionnait. En tout cas, il ne pouvait pas s’empêcher de se sentir encore plus nul et pathétique devant le super soldat. Une larvette qui n’arrivait même pas à s’occuper de lui et se payer une saleté de vélo. Débrouillard au minimum, il devait en son fort intérieur le railler.
Après sa réplique de modestie justement, Lundh cru que Cieran se moquait justement de lui. Il fut toucher quand il parlait qu’il ne faisait que son boulot, mais de là, à proposer de rejoindre l’armée, non c’était vraiment pour rire à ses dépens, Jonas ne put s’empêcher de lâcher un rire en entendant cela. "Vous êtes sérieux ?"

Entre Cieran et Jonas, il n’y avait pas photo. L’un ressemblait aux anciens héros guerriers ou dieux tout puissant par sa silhouette imposante à faire trembler même les montagnes. L’autre, était plus petit, chétif, maladroit et on en passe. Et ça, il comptait bien le faire remarquer.

"Vous pensez vraiment qu’on m’acceptera ? Suis pas fort, et sais à peine tenir une arme. Niveau rapidité et agilité pourquoi pas mais… A moins de servir les appâts, je ne serais d’aucun secours."

Si vous êtes familier aux films de guerres, souvent on retrouve un cliché typique. A savoir celui du soldat pas très douer, parfois timide, peu valeureux de plus, qui permet le contraste avec les soldats plus expérimenter, fort, habille et courageux. Et bien voilà comment se verrait Jonas, ce soldat peu chanceux, qui à tout les coups, ferait partie des premiers à mourir. Ou bien sujet de plaisanterie pour ses camarades, quoi que l’un n’empêchait pas l’autre. Et si jamais justement il décidait de rejoindre malgré tout l’armée, Daniel risquait bien de lui faire mille reproches tout en le raillant aussi. Non, Jonas ne se sentait pas la force de supporter tout cela.

Jonas ne pouvait s’empêcher de ressentir une pointe de colère. Son visage vira au rouge, mais se retenait. Cieran avait-il visé juste ? Le suédois ne se voyait pas donné de fausses excuses pourtant. Il avait besoin de gagner du temps et crapaüter dans les rues ne l’aidait pas forcément à ça selon son point de vue. Il se mettait aussi une pression incroyable, faisant de son mieux pour bien faire et voilà qu’on pointait encore du doigt les failles de ses décisions. Il se voyait responsable de quelqu’un et fit de son mieux pour se montrer à la hauteur. Mais voilà que Lundh semblait s’être tromper quelque part. Mauvaise gestion de ses moyens ? Mauvais plan ? Il en avait marre. Et si l’irlandais ne faisait pas deux fois sa taille, il ne se priverait pas de lui en dire deux mots.

Bon, sur la question de rejoindre l’armée, le géant n’avait pas tords, Jonas voulu bien le reconnaitre. Avec de l’entrainement, il pourrait arriver à un bon niveau. "En même temps..." Se dit-il "C'est facile à dire pour lui. Ce gars ressemble à une machine de guerre. Il pourrait tuer à lui seul une armée j'en suis sûr." Vrai qu’en plus, de dire qu’on n’avait pas besoin d’une montagne de muscle alors qu’on en avait une en face de soi, ce n’était pas vraiment convainquant. Mais le soldat disait une autre vérité, il était vivant. La preuve se trouvant-là, le suédois avait survécu jusqu’ici alors qu’il avait dû affronter les pires abominations pour arriver jusqu’ici. Néanmoins, comme toute personne manquant de confiance comme la si bien dit le guerrier, Jonas trouvait à redire.

"Enfin... J'ai eu surtout beaucoup de chance. Si je devais compter que sur ma force... Et puis, je n'étais pas tout seul, j'avais l'aide qu'il me fallait."

Jonas était très heureux que Daniel l’eut rejoint et accompagné durant cette aventure. Par contre étant l’ainé, c’était là que le suédois se vit accorder la responsabilité du plus jeune. Alors, quand il se devait de veiller sur lui et que ce fut lui qui le tirait d’une sale affaire plus d’une fois, Lundh se sentait un rien honteux. Oh ! Il ne lui reprochait rien, il n’était pas ingrat, juste que Jonas déprimait un peu quand il pensait constater de sa « nullité » ou incapacité pour dire plus joliment.
A chaque fois qu’il se regardait, il voyait ce corps chétif qui manquait plus d’une fois de finir dans l’estomac d’un zombi ou d’un cannibale. Jonas avait failli plus d’une fois oui. Et il devait à un miracle pour en être sortie vivant.

Cependant, au lieu de continuer à s’apitoyer sur son état, légitiment ou non, le livreur eut comme un déclic. Il trouva ça fou d’y penser, mais un rien impulsif, il sautait sur les occasions qui s’offraient à lui.

"Vous pensez vraiment qu’on arrivera à faire devenir cette crevette en un ours ?"

Si oui… Jonas ne dirait pas non. Il fantasmait à l’idée de devenir plus imposant, fort et capable. Être en mesure de mieux se défendre et remplir ce rôle qu’il pensait avoir. Tant qu’on ne se servait pas de lui comme chaire à canon, le suédois était d’accord. Il se doutait que le chemin serait difficile, mais il se sentait prêt à l’emprunter et subir ce qu’il fallait pour devenir ce qu’il désirait le plus. Jonas osa même demander avec une voix un peu plus hésitante :

"Vous… Vous accepteriez de m’entrainer ?"

Il parlait aussi bien de l’armée en général, que de Cieran lui-même. Après tout, Jonas l’avait vue se défouler contre le matelas et ses gestes et coups furent exécuter avec une beauté et une puissance qui donnait envie. Cieran pouvait bien être capables de transmettre son savoir et sa technique à un petit novice non ?

Si le goliath était doué au combat, il était aussi en argument. Chaque protestation émise par le suédois, fut balayer d’un revers de la main, laissant le coureur un peu bloquer. Il fallait avouer que Cieran pouvait être convainquant. Le flatter en diait qu’il avait les capacités pour rejoindre l’armée… C’était rare qu’on le lui dise. On le félicitait pour ses prouesses en informatique, mais jamais sur le plan physique. Oui, son petit protégé l’encourageait, disant un peu la même chose quand il s’en sortait indemne quelque fois, mais l’entendre de la bouche de quelqu’un d’autre semblait avoir un impact plus fort, surtout venant d’un colosse de guerre.

Après, cela pouvait ressembler un peu à de la propagande de recrutement, où on disait que tout le monde pouvait rejoindre l’armée, car « on sentait en lui et en elle, des capacités exceptionnelles. » Mais… Cieran avait vue les prouesses de Jonas déjà, celle de tombait facilement d’un toit et de manquer de se tuer. Voudrait-il prendre le risque de recruter quelqu’un de si nul que ça si ce n’était que du vent ? Se grattant la tête, Jonas se laissa déjà un peu tenter.

"Ben... Déjà je suis rapide oui. Je deviendrais quoi, une sorte d'éclaireur ou un truc dans le genre vous pensez ?"

S’il ne devait pas servir de chaire à canon, le suédois était plutôt pour dans ce cas. Bien que réticent au départ, le jeune homme commençait peu à peu à se voir comme le nouveau héros dont il rêvait d’être. Agile, rapide et mortel, il s’en ferait moins pour lui et pour Daniel, il se verrait enfin pleinement capable de protégé sa famille et moins trembler quand il entendrait grogner quelque part. Alors oui, l’entrainement sera sans nul doute éprouvant, le mettant à rude épreuve cela allait de soi. Mais Lundh prit son courage à deux mains et voulu bien tenter. Donner ce qu’il pouvait pour réussir.

"Ecoutez je veux bien le faire. Et si c’est bien payer, du moins assurer de quoi vivre alors d’accord."

S’il retrouvait une rentrée d’argent régulière, cela le soulagerait. Ne plus courir après les missions, ne plus prendre le risque de rentrer le soir avec une misère et ne pas manger le lendemain… C’était un sacrifice qu’était prêt à prendre Jonas pour assurer à son foyer de quoi vivre, même si son corps allait se retrouver torturer de toute part et que son psychisme, son moral, suivrait le même chemin.
Jonas était un peu déçu néanmoins que Cieran ne pouvait le prendre sous son aile. Le titan l’avait motivé, encouragé, il avait gagné la sympathie du gringalet. Ce dernier aurait bien aimé que Cieran fasse plus en l’entrainant un peu, de quoi le préparer et l’aider à entrer dans le bain. Mais il n’insistait pas, comprenant que l’irlandais avait sans doute mieux à faire.

Jonas était tenter. Cette offre qu’on lui faisait semblait plus prometteuse que ce qu’on lui offrait jusque-là. Cela le changerait un peu des tâches insignifiantes à la ville et de ce qui touchait à son domaine de prédilection, l’informatique, qui aujourd’hui était inexistante. Bon, il n’était pas un guerrier dans l’âme. Se voir prendre tant de risque, frôler la mort dans l’armée était un des points qui le rassurait peu. Il avait survécu jusqu’ici, fuyant le danger dans l’espoir de finir dans un coin tranquille loin des zombis et autres malades… Mais qui sait, peut-être qu’en devenant un soldat, la mort il pourra lui rire au nez. C’était à voir…

Cependant il y avait un point, que le géant aborda et qui tiqua le suédois. C’était la question du logement. Jonas n’y avait pas pensé au départ, mais il était logique qu’on héberge les jeunes recrues mais quelque chose le préoccupait sur ce point, et ce fut sans hésiter que Lundh interrogea le puissant soldat.

"Pendant ces semaines d'hébergement, combien de temps cela dure à peu près ou bien, peux t'on y faire venir de la famille avec nous ? C'est que je ne suis pas tout seul et j'ai à charge quelqu'un pour tout vous dire."

A charge… Daniel était un jeune adulte sachant se débrouiller seul. Même, il semblait plus chanceux et débrouillard que son ainé. Le problème étant qu’en réalité, depuis que tous deux furent embarquer ensemble dans cette odyssée apocalyptique, ils ne s’étaient pratiquement jamais séparés. Ils voyageaient ensemble, discutaient ensemble, s’amusaient ensemble, se disputaient ensemble etc. Passer plusieurs jours d’affiler séparer risquait de provoquer un choc, et Jonas se doutait bien de la réaction de son cadet. Déjà voir celui qui était comme son meilleur ami prendre des risques à rejoindre l’armée et en plus ça… L’allemand avait perdu sa famille et il ne restait plus que le suédois comme attache. Lundh culpabiliserait presque de vouloir tout de même tenter sa chance quand même.

Jonas sourit.

"Je vous remercie. Et me doute que tu ne risques pas d’être tendre avec moi. Mais il faut ce qu’il faut pour devenir plus fort non ?" Il se rendait à peine compte que tous deux venaient de passer au tutoiement. Mais cela ne semblait durer, car le suédois, car Cieran était revenu rapidement au vouvoiement dont Jonas imita. "Ecoutez… Ça me parait vraiment tentant. Mais je ne peux pas me jeter dedans comme ça, je dois y réfléchir et en parler."

Ce ne sera pas simple on pouvait le deviner. Pour toutes les raisons énumérées justement avant, Lundh se bloquait quand même. Pour le premier point négatif, à savoir la prise de risque, le suédois se rassura en se disant qu’après un bon entrainement, les risques d’y passer seront fortement réduite. Et puis, il ne sera pas seul, il pouvait compter sur ses coéquipiers pour le seconder non ?
Par contre, pour le second point, le cas Daniel, il semblait paraitre le plus difficile à gérer, pire que d’aller affronter une horde et une secte cannibale.